Raison pour laquelle Albus ne fait pas instit de maternelle !

C'est l'histoire (vraie ?) d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
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> > > > > Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller à la récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à les enfiler.
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> > > > > Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit: "Elles sont à l'envers, maîtresse".
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> > > > > La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds...
> > > > > Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
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> > > > > Et le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants : "C'est pas mes bottes".
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> > > > > A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant ....
> > > > > Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
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> > > > > Elle dit alors :"Bon, allez, on les enlève" et elle se met au nouveau au boulot.
> > > > > Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
> > > > > "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
> > > > > Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
> > > > > L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
> > > > >
> > > > > Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande: "Ou sont tes gants?".
> > > > >
> > > > > Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
> > > > >
> > > > > "Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."

Quelques jours après la rentrée des classes, on procède à la traditionnelle photo. La semaine suivante, l'institutrice essaie évidemment de persuader les enfants d'en acheter une chacun.
« Pensez à l'avenir, vous serez bien contents dans quelques années, quand vous serez grands, de vous dire en regardant la photo. Tiens, là c'est Julie, elle est médecin maintenant ou encore là c'est Kévin, il est ingénieur et là c'est Amélie, elle est manucure... »
A ce moment une petite voix se fait entendre du fond de la classe : « Et là c'est la maîtresse Mme Planchon, elle est morte ! »

Pas compris le titre

ludo

ludo a écrit:Pas compris le titre

ludo

Aie...

Je m'y colle pas...

ludo a écrit:Pas compris le titre

ludo

Pas grave... Du moment qu'Albus me comprend...

Papa reporter a écrit:C'est l'histoire (vraie ?) d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ...
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> > > > > Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller à la récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à les enfiler.
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> > > > > Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit: "Elles sont à l'envers, maîtresse".
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> > > > > La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds...
> > > > > Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
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> > > > > Et le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants : "C'est pas mes bottes".
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> > > > > A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant ....
> > > > > Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
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> > > > > Elle dit alors :"Bon, allez, on les enlève" et elle se met au nouveau au boulot.
> > > > > Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
> > > > > "C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
> > > > > Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes.
> > > > > L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.
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> > > > > Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande: "Ou sont tes gants?".
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> > > > > Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
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> > > > > "Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes."